18 bis, rue Amélie 75007 Paris
Mr Nehlil a plus de 20 ans d'expérience dans le domaine de la finance et de l'immobilier.
Mme Giustino à 5 ans d'expérience en finance et finance durable.
Nous mettons nos compétences à votre service.
AVEFI détient les habilitations suivantes :
- CIF ( conseiller en investissement financiers )
- COA ( courtier d'assurance )
-COBSP ( Courtier en opération de banque et en service de paiement )
- MIOBSP ( Mandataire d'intermédiaires en opérations de banques et en service de paiement)
Nous travaillons en partenariat avec différentes compagnies d'assurance qui font l'objet d'une sélection de la part de notre équipe. Aucune de ces entreprises ne détient du capital d'Avefi ou de poids économique déterminant dans la marche de l'entreprise.
Notre structure est indépendante. Nous sommes rémunérés par le biais d'honoraire directement du client, dont le montant est déterminé par avance en accord et/ou nous sommes rémunérés au titre des placements effectués. Cette rémunération est disponible sur demande. A ce titre, le cabinet Avefi n'st pas indépendant. Il propose des produits avec les partenaires sélectionnés qu'il a choisi à l'instar du conseiller "pur" qui ne peut etre rémunéré que par honoraire et propose une étude de marché complète. Le cabinet avefi dispose de partenariats très larges avec des intervenants majeurs connu et reconnu.
Dans le cadre de nos relations professionnelles, nous sommes amenés à collecter, traiter et détenir des informations vous concernant vous et vos proches. Ces données personnelles sont collectées, selon le cas, sur les bases légales que sont votre consentement, la nécessité d’exécuter le présent contrat, et le respect de nos obligations légales, notamment en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
Les informations collectées sont susceptibles d’être transmises à nos prestataires informatiques et, en cas d’intermédiation d’un produit, au fournisseur de celui-ci. Les données collectées vous concernant vous et vos proches seront conservées pendant toute la durée de nos relations contractuelles et ensuite en archive pendant un délai de cinq ans. Vous disposez sur ces données d’un droit d'accès, de rectification, et limitation, ainsi que d’un droit d’opposition et de portabilité conformément à la loi.
Avenir Elysées Finance, SARL au capital social de 8000 euros, immatriculée au RCS de Nanterre sous le numéro 484 706 817, dont le siège social est situé 18 bis rue Amelié 75007 paris
AVEFI est immatriculé au registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance sous le numéro 07005076 (qui peut être consulté sur le site www.orias.fr) en qualité de conseiller en investissements financiers (CIF) adhérent de la Chambre nationale des conseils en gestion de patrimoine, association agréée par l’Autorité des marchés financiers (AMF) et courtier en assurance et courtier en opérations de banque et en services de paiement et titulaire de la carte professionnelle n° CPI 92012016000 007 827, délivrée par la CCI DE Paris Ile de France et permettant l’exercice de l'activité de transaction sur immeubles et fonds de commerce.
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La CNCGP est le leader incontournable des acteurs de la gestion privée indépendante.
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Créée en 1978, la Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine est l’association professionnelle (CNCGP) représentative des Conseils en gestion de patrimoine (CGP).
En tant qu’association de Conseil en Investissements Financiers (CIF), de courtiers en assurance (IAS) et d'intermédiaires en opérations de banque et de services de paiement (IOBSP), la CNCGP est agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) et par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR).
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Le conseil qui vous sera rendu sera formalisé dans un document qui expliquera pourquoi la recommandation formulée vous est adaptée, notamment en quoi elle correspond à vos objectifs d'investissement, y compris vos éventuelles préférences en matière de durabilité, à la durée d'investissement requise, à vos connaissances, à votre expérience, à votre attitude à l'égard du risque, et à votre situation financière, y compris à votre capacité à supporter des pertes. L’évaluation de l’adéquation relève de la responsabilité de votre conseiller. Pour rappel : Risque de perte en capital : L’instrument financier ou la stratégie d’investissement ne présente pas de garantie en capital, vous exposant à un risque de perte des sommes investies. Un produit présentant un potentiel de rendement élevé implique un risque de perte en capital élevé. Risque de liquidité : Impossibilité ou difficulté à pouvoir vendre ses instruments financiers en raison de l’inexistence ou de l’étroitesse du marché pour ces titres. Risque de change : Risque auquel s’expose tout investisseur se portant acquéreur d’un actif libellé dans une autre devise que celle ayant cours légal dans son pays. Risque de contrepartie : Perte définitive de la créance dans la mesure où le débiteur ne peut pas, même en liquidant l'ensemble de ses avoirs, rembourser la totalité de ses engagements. Risque fiscal : Si l’instrument financier ou la stratégie d’investissement permet de bénéficier d’un avantage fiscal, celui-ci peut faire l’objet d’une rectification par l’administration fiscale en cas de non-respect des dispositions fiscales encadrant cet avantage. Risque de fraude : Utilisation frauduleuse des fonds à des fins autres que la réalisation de l’investissement.
Une lettre de mission est mise en place entre vous et nous,afin de déterminer ensemble les enjeux de notre collaboration.
Notre mission principale est de réaliser un audit patrimonial et financier, ainsi que de vous assister dans la mise en place d’investissements, en réponse à votre situation et à vos objectifs.
Nous vous proposons des missions sur le long terme, avec un suivi annuel et des conseils tout au long de notre collaboration.
Mais également des missions ponctuelles en fonction de vos besoins sur le moment.
Nous sommes à votre écoute pour nous adapter à vos besoins.
Notre mission comprend l'analyse de votre situation patrimoniale, l'étude de vos besoins et la mise en place de solution. Un suivi annuel est garanti afin de répondre à tout changement de situation e adapter votre patrimoine à l'évolution du marché.
Nous proposons également des suivis administratifs et fiscaux afin de vous accompagner au mieux dans certaines périodes de votre vie.
La lettre de mission permet de convenir du prix de la prestation. Celui-ci varie en fonction de la durée de la mission et du volume d'activité. Les suivis administratifs sont facturés à l'heure alors que les suivis fiscaux sont facturés sur la base d'un forfait. Frais de dossier peuvent être demandés. Honoraires : Concernant le budget relatif à cette mission et compte tenu des problématiques évoquées lors de notre entretien, nous estimons que cette mission demandera dans sa globalité entre x et y heures d’étude, honoraires qui vous seront facturés sur la base de "x"€ de l’heure. Honoraires forfaitaires Concernant le budget relatif à cette mission et compte tenu des problématiques évoquées lors de notre entretien, nous estimons que cette mission demandera une rémunération forfaitaire à hauteur de x€. Commissions et/ou des rétrocessions de commissions Concernant le budget relatif à cette mission et compte tenu des problématiques évoquées lors de notre entretien, nous estimons que cette mission pourra être rémunérée par des commissions et/ou des rétrocessions de commissions versées par les établissements promoteurs de produits liés aux investissements que vous réaliserez par notre intermédiaire. Pour votre information, lorsque la prestation de conseil est suivie de la réalisation d’un investissement financier ou de la fourniture d’un service d’investissement, vous êtes susceptible de supporter certains coûts et frais suivants : des coûts et frais liés aux services d’investissement à acquitter auprès du prestataire de service : frais de dossier, de résiliation ou de transfert, honoraires de conseil ou de gestion sous mandat, frais de transaction, frais administratifs, droits de garde, certains droits ou taxes, frais de distribution, commissions liées aux résultats ; des coûts et frais liés aux instruments financiers prélevés sur l’investissement : frais d’entrée et de sortie, frais de transaction, frais de gestion, frais administratifs, frais de distribution, commissions liées aux résultats ou commissions d’intéressement. Une estimation raisonnable des coûts et frais vous sera fournie avant la réalisation de l’investissement financier ou la fourniture du service d’investissement.
Les données qui sont collectées dans le cadre de notre activités sont traitées et conservées dans le respect de la réglementation RGPD. En application de l’article 325-4 du règlement général de l’AMF, le cabinet s’abstient, sauf accord exprès, de communiquer et d’exploiter, en dehors de sa mission, les informations concernant ses clients. Cette disposition ne pourra être opposée à la Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine ou aux autorités de tutelle dans le cadre de leurs missions de contrôle.
Il est ici précisé que la présente mission implique une obligation de moyens et non une obligation de résultats. Lors de notre mission, nous pourrons être amenés à demander à vos conseillers habituels, avec votre accord, de bien vouloir nous communiquer tous renseignements utiles. En outre, vous vous engagez par la signature de ce document à un devoir d’information et de coopération sincère et exhaustive. Si notre relation était appelée à devenir durable, vous vous obligez notamment à répondre à nos sollicitations dont l’objet sera la mise à jour des informations qui nous sont nécessaires pour vérifier l’adéquation de nos recommandations dans le temps. Notre mission fera l’objet d’un renouvellement par tacite reconduction tous les ans. Chacune des parties pourra y renoncer après un délai de préavis d’un mois.
Sur la base de l’ensemble des informations que vous avez bien voulu porter à notre connaissance, nous vous remettons un rapport de préconisation qui reprend une analyse complète de votre patrimoine et qui met en évidence les raisons pour lesquelles les solutions proposées correspondent le mieux à vos exigences et besoins conformément au service de recommandation personnalisée que nous vous fournissons.
A cette fin, nous mettons à votre disposition les compétences patrimoniales, fiscales et juridiques de notre établissement lequelles :
-Vous oriente vers le meilleur choix en matière de constitution, d'organisation et de transmission de patrimoine,
-Vous propose des solutions qui répondent aux intérêts économiques et fiscaux qui vous sont propres,
-Vous soumettre des préconisations qui respectent l'équilibre des différentes composantes de votre patrimoine, à la lumière de vos intentions.
Après étude de votre patrimoine et l'analyse de vos besoins et objectifs, nous vous conseillons des solutions. Afin de répondre au mieux à vos questions, nous vous mettons à disposition un comparatif des produits et solutions que nous vous conseillons.
Nous sommes là pour vous apportez nos conseils mais nous discutons ensemble des solutions à mettre en place.
En fonction de votre profil de risque investisseur, nous vous conseillons une allocation financière unique. Nous tenons compte des évolutions du marché financiers, politiques et de l'actualité pour vous fournir une allocation optimale.
Les investissements que vous réalisez par notre intermédiaire sont le plus souvent en gestion libre, nous vous formulons un conseil, vous choisissez.
Les solutions que nous vous conseillons peuvent répondre à plusieurs objectifs, le rapport de préconisation met en évidence l'intérêt de chaque solution et les avantages de celle-ci sur votre patrimoine.
A la suite de notre 1er rendez-vous, nous déterminons ensemble vos besoins, vos objectifs et la nature de notre mission.
Dans le cadre de l'analyse de votre patrimoine, nous avons besoin d'éléments nous permettant d'avoir une vision à 360 de votre patrimoine financier et immobilier.
Un certain nombre de pièce vous serons demander tout autant pour l'audit que pour la souscription des produits.
Après validation du rapport de préconisation, nous vous préparons la souscription des solutions conseillées. Cela peut se faire via signature électronique ou par papier. Nous vous accompagnons tout au long de la signature.
Nos partenaires vous mettent à disposition un extranet pour consulter vos contrats. Pour toutes demandes d'opérations, nous restons vos interlocuteurs privilégiés. Appelez-nous ou envoyer nous un mail, nous répondons sous 24h.
Nous avons à notre disposition de nombreux outils qui nous permettent de vous accompagner au mieux.
- Money Pitch : Remplissez vos données d'état civil et
patrimoniales en ligne afin que nous puissions revenir vers vous avec un audit complet et des solutions adaptées.
-Yousign : Un système de signature électronique vous permettant d'accédez et de signez facilement les documents que nous vous partageons.
- Big Harvest : Un applicatif nous permettant de faire un audit complet et personnalisé de votre patrimoine.
- Quantalys : Un outil d'analyse, de sélection de fonds et d'optimisation d'allocation financière.
Nos équipes vous accompagnent tout au long de notre collaboration avec un suivi régulier toute l'année ou pour des suivis personnalisés à votre demande.
La protection du capital est votre principale préoccupation. Vous préférez que votre épargne soit toujours disponible, et, à cette fin, vous adoptez une approche sécuritaire. (100% fonds euros)
Vous souhaitez que votre épargne fructifie, mais vous voulez surtout qu’elle demeure en sécurité. Vous acceptez une prise de risque limitée. (75% de fonds euros - 25% d'unités de compte)
Vous voulez établir un équilibre entre le rendement et la sécurité de vos placements, vous êtes prêt à tolérer les hausses et les baisses des marchés en contrepartie d’un rendement à long terme potentiellement supérieur. (50% fonds euros - 50% unités de compte)
Vous êtes à la recherche des placements les plus spéculatifs. Vous acceptez un risque élevé pour maximiser le potentiel de rendement de vos placements à long terme. (100% unités de compte)
Le risque de signature : les faillites en 2008 de Lehman Brothers, une des plus grandes banques d’investissements américaines, d’AIG, première compagnie d’assurance au monde, et la quasi faillite de grandes banques britanniques sauvées in extremis par l’Etat britannique, montrent que même les plus grands établissements financiers ne sont pas à l’abri d’une banqueroute.
Le risque action : la valeur liquidative des fonds comportant des actions peut baisser rapidement et fortement en cas de baisse des marchés actions. En outre, sur les marchés de petites et moyennes capitalisations, le volume des titres cotés en bourse est réduit, les mouvements de marchés sont donc plus marqués à la baisse et plus rapides que sur les grandes capitalisations.
Le risque obligataire : la valeur liquidative des fonds comportant des obligations peut baisser lorsque les taux d’intérêt montent. En effet, le prix des obligations et les taux d’intérêt évoluent dans des sens opposés : plus les taux d’intérêt montent, plus le prix des obligations baisse et inversement.
Le risque de change : les fonds actions et obligations peuvent être exposés au risque de change par l’acquisition de titres libellés dans une devise autre que l’euro.
Le risque de liquidité : les marchés sur lesquels ces fonds interviennent peuvent être occasionnellement affectés par un manque de liquidité temporaire. Ces dérèglements de marché peuvent impacter les conditions de prix auxquelles les fonds peuvent être amenés à liquider, initier ou modifier des positions.
Le risque de perte en capital : les fonds actions ou obligataires ne bénéficient d’aucune garantie ou protection en capital.
Le risque fiscal : le régime fiscal sera lié à votre choix (PFU ou IR), il ne peut en aucun cas être garanti dans le temps.
Rendements et risques des placements financiers
Le rendement et le risque des placements financiers sont inséparables. Ils diffèrent en fonction du placement choisi. Vous ne pouvez pas connaître à l'avance et avec certitude le rendement d'un placement. Avant d'investir, vous devez connaître les risques liés au produit financier proposé. Notre dossier.
https://www.amf-france.org/fr/espace-epargnants/savoir-bien-investir/cadrer-son-projet/risques-et-rendements-des-placements
- Grande diversité des supports
- Liquidité en cas de présence de fonds euros
- S'adapte à tous les profils
- Différents types de gestions proposés
- Versement libre et programmés
- Permet de percevoir des revenus complémentaires grâce à des rachats partiels réguliers ou ponctuels.
- Fiscalité avantageuse en cas de succession et dès 8 ans de détention
- Libre choix du bénéficiaire
- Préparer sa retraite tout au long de sa vie active
- Déduction fiscale en cas de versement
- Protection de son conjoint en cas de décès
- Aucun plafond de versement
- Possibilité de retrait anticipé sous conditions ( achat de la résidence principale )
- A la retraite, sortie en rente, 100% en capital ou un mix des deux.
- Grande diversité des supports
- Liquidité en cas de présence de fonds euros
- S'adapte à tous les profils
- Permet de percevoir des revenus complémentaires grâce à des rachats partiels réguliers ou ponctuels.
- Versement libre et programmés
- La transmission d’un contrat de capitalisation par donation ou succession
n’entraine pas son dénouement.
- Peut faire l'objet d’une donation en pleine propriété ou en démembrement ou d’une transmission par décès tout en conservant son antériorité fiscale.
- Un large univers d’investissement offre la possibilité de construire une allocation d’actifs en adéquation avec le profil investisseur et l’horizon de placement
- Fiscalité avantageuse dès 5 ans de détention
- Permet de percevoir des revenus complémentaires adaptés à ses besoins, grâce à des retraits partiels ou
totaux.
- Possibilité de convertir le capital en rente viagère.
- Un large univers d’investissement offre la possibilité de construire une allocation d’actifs en adéquation avec le profil investisseur et l’horizon de placement
- En cas de donation ou succession, les comptes-titres sont taxés aux droits de mutation à titre gratuit
-Le rendement locatif et la valorisation à terme
-Un univers d’investissement différent et de long terme
-Les loyers générés sont une aide en cas de retour de l’inflation
-Au sein de contrat d’assurance vie, les revenus fonciers ne génèrent pas de fiscalité. Seuls les retraits de l’assurance vie (vers votre compte) génère une fiscalité
-Location de long terme à des institutionnels
- Déduction des intérêts d'emprunt sur des revenus fonciers existant
- Aucune charge à payer
- Constitution d'un patrimoine immobilier dont le montant d’investissement est limité à la valeur du droit démembré.
- Au terme de l'usufruit (temporaire), récupération de la pleine propriété du bien
- Création de revenus complémentaires au terme de l'usufruit
- Siversifier son patrimoine
tout en générant potentiellement, à terme, une plus-value
- Les biens détenus en nue-propriété n’entrent pas dans la base taxable au titre de l’IFI
- Au terme du démembrement, l’investisseur en nue-propriété devient plein propriétaire, sans formalité et sans frais.
- Se constituer un patrimoine
- Bénéficier d’une source de
revenus complémentaires
- Fiscalité avantageuse ( abattement ou mécanisme d' amortissements)
- Imputation du déficit foncier sur les revenus de même nature pendant 10 ans.
- Absence de plafonnement des loyers
- Absence de plafonnement de ressources du locataire
- Absence d’obligation de conservation / location
- Réduction fiscale
- Revenus complémentaires
- Location possible aux membres de sa famille
- Constitution d'un capital à long terme, après le respect de l'engagement de location le bien peut être loué, récupéré à titre privée ou vendu
- Les déficits éventuels générés par cet investissement sont imputables (hors déficit lié aux intérêts d’emprunt) sur
le revenu global dans la limite de 10 700 €
- Réduction d'impôt forfaitaire
- Revenus complémentaires
- Création d'un patrimoine immobilier à long terme
- Constitution d'un patrimoine immobilier à long terme
- Revenus complémentaires
- Réduction fiscale avec déduction de son revenu globale sans limitations tout ou partie des charges foncières supportées
- Absence de zonage géographique mais classement du bien immobilier et des éventuels meubles le
garnissant
- Absence de plafonnement des loyers
- Absence de plafonnement de ressources du locataire
- Non soumis au plafonnement global des niches fiscales
- En cas de transmission, exonération de droits de donation et de succession sous certaines conditions
- Le contrat doit être détenus sur le long terme
- Frais de versement
- Frais de gestion présents
- le transfert d'un contrat vers un autre assureur est impossible
- En cas de rachat partiel, un minimum est a laissé sur le contrat pour le conserver
- Imposable à l’IFI à hauteur de la partie investie en actifs immobiliers.
- Contrat non liquide en dehors des cas de sortie anticipée
- Investissement sur du long terme
- Frais de gestion
- Fiscalisation à la sortie.
Le contrat doit être détenus sur le long terme
- Frais de versement
- Frais de gestion présents
- le transfert d'un contrat vers un autre assureur est impossible
- En cas de rachat partiel, un minimum est a laissé sur le contrat pour le conserver
- Imposable à l’IFI à hauteur de la partie investie en actifs immobiliers.
- Risque de perte en capital
- Investissement à long terme
- Cet investissement nécessite des connaissances sur le fonctionnement des marchés financiers et requiert du temps pour s'informer, suivre et gérer ses investissements.
- En cas de retrait avant 5 ans, celui-ci entraînera la clôture du Plan et la perte de l'avantage fiscal.
- Plafond de versement de 150 000 € à
à 300 000 € pour un couple marié ou pacsé soumis à une imposition commune
- Imposable à l’IFI à hauteur de la partie investie en actifs immobiliers.
- Risque de perte en capital
- Investissement à long terme
- Cet investissement nécessite des connaissances sur le fonctionnement des marchés financiers et requiert du temps pour s'informer, suivre et gérer ses investissements.
- Les frais d’acquisition, de gestion, délai de jouissance
-Marché de gré à gré pour la vente qui peut être moins liquide
- L’immobilier présente de nombreux avantages que nous connaissons tous, mais il ne bénéficie pas des caractéristiques des fonds euros. Présence de risque en capital, risque de rendement , risque de crédit, risque de gestion discrétionnaire .
- Projet à long terme
- Pas de revenus complémentaires immédiats pour rembourser le crédit immobilier
- Nécessité de meubler le bien
-Tenue d’une comptabilité régulière
- Plafond de revenus pour éviter de passer en statut de Loueur meublé professionnel
- En cas de vente le régime de plus-values des particuliers s'appliquent
- Biens imposables à l'IFI
- Les biens immobiliers entrent dans l’actif imposable à l’IFI
- Bien soumis au régime des plus values des particuliers
- Engagement de location (6,9 ou 12 ans), au terme de celui-ci l'avantage fiscal s'arrête
- Les loyers sont soumis à l’impôt sur le revenu dans la catégorie des revenus fonciers et aux prélèvements sociaux de 17,2 %
- Zonage géographique
- Plafonnement des loyers et de ressources du locataire
- Plafonnement global des niches fiscales
- Les logements Pinel Denormandie nécessitent de réaliser au moins 25 % du prix d'acquisition en travaux d’amélioration ou de rénovation.
- Les biens immobiliers entrent dans l’actif imposable à l’IFI
- Bien soumis au régime des plus values des particuliers
- Engagement de location de 9 ans
- Les loyers sont soumis à l’impôt sur le revenu dans la catégorie des revenus fonciers et aux prélèvements sociaux de 17,2 %
- Zonage géographique
- Plafonnement des loyers et de ressources du locataire
- Engagement de conservation de l’immeuble pendant 15 ans à compter de son acquisition
- Les loyers sont soumis à l’impôt sur le revenu dans la catégorie des revenus fonciers et aux prélèvements sociaux de 17,2 %
- Relève du régime des plus-values
immobilières des particuliers
- Les immeubles classés aux Monuments Historiques sont imposables à l’IFI
Les intérêts retirés sur les contrats d’assurance-vie sont soumis à un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30 %.
Les produits attachés aux contrats d’assurance-vie sont soumis à ce nouveau taux d’imposition forfaitaire, à l’exception :
- des produits afférents à des primes versées avant le 27 septembre 2017 qui restent soumis à la fiscalité antérieure ;
- des produits afférents à des primes versées à compter du 27 septembre 2017, lorsque le contrat a plus de 8 ans et que le montant des primes nettes versées sur l’ensemble des contrats dont est titulaire le bénéficiaire des produits n’excède pas 150 000 € (soumis à l’impôt sur le revenu au taux de 7,5 %).
Les rachats effectués après 8 ans continuent de bénéficier d’un abattement annuel de 4 600 € pour une personne seule ou de 9 200 € pour un couple, appliqué sur les revenus générés par les versements.
Au-delà de cet abattement, le taux forfaitaire dérogatoire de 7,5 % continuera de s’appliquer aux produits contenus dans un rachat effectuée sur un contrat d’une durée supérieure à 8 ans, lorsque le montant total des versements nets des produits détenu par le souscripteur sur l’ensemble de ses contrats n’excède pas le seuil de 150 000 €.
Lorsque le total des versements nets dépassera le seuil de 150 000 €, les produits issus des nouveaux versements seront imposés (au-delà de l’abattement de 4 600 € ou 9 200 €), à 7,5 % au prorata des versements nets inférieurs à 150 000 € et à 12,8 % au prorata des versements nets dépassant 150 000 €.
Toutefois, les contribuables ont la possibilité d’opter pour l’imposition selon le barème progressif de l’impôt sur le revenu, si ce choix est plus favorable.
Le capital perçu à la retraite issu des versements qui ont bénéficié de la déductibilité fiscale est imposé au barème de l'impôt sur le revenu. Les plus-values encaissées en plus du capital du départ sont quant à elles soumises au PFU de 30 %.
L'épargnant qui a choisi une sortie en rentes à l'échéance de son PER doit également payer l'impôt à la sortie selon deux modalités :
- Sommes issues des versements déductibles du revenu imposable : imposition au barème de l'impôt sur le revenu après application d'un abattement de 10 %. Cela correspond à la fiscalité des rentes viagères acquises à titre gratuit, qui est similaire à la fiscalité des pensions de retraite. Une fraction de la rente (variable selon l'âge de jouissance de la rente) est également soumise aux prélèvements sociaux à 17,2 %.
- Sommes issues des versements non déductibles du revenu imposable : imposition selon la fiscalité des rentes viagères à titre onéreux. Les rentes sont taxées au barème de l'impôt sur le revenu après application d'un abattement variable selon l'âge du bénéficiaire à la date du premier versement (50 % entre 50 et 59 ans, 60 % entre 60 et 69 ans, 70 % à partir de 70 ans).
En l’absence de rachat, les intérêts produits sont exonérés d’impôt sur le revenu.
S’agissant des prélèvements sociaux, seuls les intérêts générés sur le fonds en euros sont soumis aux
prélèvements sociaux, au taux de 17,2 %, dès leur inscription en compte.
Le régime d’imposition s’applique en fonction de la date de souscription du contrat et de la durée de détention.
Les produits afférents à des versements antérieurs au 27 septembre 2017 sont imposés au prélèvement forfaitaire libératoire de 35 %, 15 % ou 7,5 % si les retraits sont respectivement effectués dans les 4 ans, 8 ans ou après les 8 ans du contrat.
En revanche, les produits des primes versées à compter du 27 septembre 2017 font l’objet de règles d’impositions complexes. Trois situations sont à distinguer :
- Si le total des primes nettes versées par l’épargnant est inférieur à 150 000 € : le taux d’imposition de ces produits est de 12,8 % ou 7,5 % + 17,2 % en fonction de l’antériorité des versements des primes.
- Si le total des primes nettes versées par l’épargnant est supérieur à 150.000 € et que le contrat a moins de 8 ans : le taux d’imposition est de 12,8 % + 17,2 %.
- Si le total des primes nettes versées par l’épargnant est supérieur à 150.000 € et que le contrat a plus de 8 ans : le taux d’imposition est de 7,5 % + 17,2 % pour la fraction des produits afférents aux primes n’excédant pas 150.000 € versées à compter du 27 septembre 2017 et de 12,8 % +17,2 % au-delà.
Toutefois, les contribuables ont la possibilité d’opter pour l’imposition selon le barème progressif de l’IR.
Les rachats effectués après 8 ans bénéficient des abattements suivants : 4 600 € pour une personne seule et 9.600 € pour un couple.
Pendant la durée du PEA, les gains que procurent les placements effectués dans le cadre du plan ne sont pas imposables, à condition d'être réinvestis dans le PEA.
Si vous retirez de l'argent de votre PEA après 5 ans, les gains de votre PEA sont exonérés d'impôt sur le revenu.
Si vous retirez de l'argent de votre PEA (retrait ou rachat) avant les 5 ans du plan d'épargne, le gain net réalisé depuis l'ouverture du plan est imposé au taux de 12,8 %.
Les gains du PEA sont soumis aux 17,20 % de prélèvements sociaux (CSG, CRDS).
Le compte-titres suit le régime fiscal des revenus de capitaux mobiliers (intérêts et dividendes notamment) et des plus-values sur les cessions de valeurs mobilières.
Depuis le 1er janvier 2018, les revenus de capitaux mobiliers sont soumis à un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 12,8 %, ou sur option globale pour le barème progressif de l’impôt sur le revenu.
En cas d’option pour le barème progressif, un abattement de 40 % est applicable sur le montant brut de dividendes éligibles. Quelles que soient les modalités d’imposition, s’ajoutent 17,2 % de prélèvements sociaux calculés sur le montant brut des dividendes (avant application éventuelle de l’abattement de 40 %).
Les plus-values de cessions de valeurs mobilières sont soumises de plein droit au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 12,8 %, ou sur option globale au barème progressif de l’impôt sur le revenu, et soumises aux
prélèvements sociaux de 17,2 %.
L’option pour le barème progressif permet l’application des abattements pour durée de détention proportionnels sur les plus-values de cession de titre acquis avant le 1er janvier 2018.
La plus-value imposable est égale à la différence entre le prix de cession et le prix d’acquisition des parts.
Par ailleurs, lorsque la cession porte sur des parts détenues depuis plus de 5 ans, la plus-value est réduite d’un
abattement pour durée de détention.
La plus-value immobilière pourra donc :
• être exonérée d’impôt sur le revenu après 22 années de détention ;
• être exonérée de prélèvements sociaux après 30 années de détention.
La plus-value ainsi déterminée est soumise à l’impôt sur le revenu au taux de 19 % et aux prélèvements sociaux au taux de 17,2 %.
Une taxe s’applique sur les plus-values nettes imposables qui excèdent 50 000 € par cédant. Son taux varie de 2 % à 6 % selon le montant de la plus-value.
La plus-value dégagée à l’occasion de la cession relève du régime des plus-values immobilières des particuliers.
Ainsi, la plus-value imposable est égale à la différence entre le prix de cession et le prix d’acquisition.
Pour la détermination du prix d’acquisition, il conviendra de distinguer deux situations :
• si la vente intervient après la réunion de l’usufruit et de la nue-propriété, il est admis de retenir la valeur
de la pleine propriété du bien au jour de l’acquisition de la nue-propriété
• si la vente intervient avant la réunion de la pleine propriété, la plus-value se calcule uniquement sur la
valeur de la nue-propriété du bien.
Par ailleurs, le prix d’acquisition est majoré :
• des frais d’acquisition (honoraires de notaire, frais de publicité foncière…) pour leur montant réel ou au
forfait de 7,5 % appliqué uniquement sur la valeur de la nue-propriété
• du forfait pour travaux de 15 % sous réserve que l’immeuble soit détenu depuis plus de 5 ans ou sous
certaines conditions strictes, des travaux pour leur montant réel.
La plus-value est diminuée, le cas échéant, d’un abattement pour durée de détention. La plus-value immobilière pourra donc :
• être exonérée d’impôt sur le revenu après 22 années de détention,
• être exonérée de prélèvements sociaux après 30 années de détention.
La plus-value ainsi déterminée est soumise à l’impôt sur le revenu au taux de 19 % et aux prélèvements sociaux au taux de 17,2 %. Pour les cessions réalisées depuis le 1 er janvier 2013, une taxe s’applique sur les plus-values nettes imposables qui excèdent 50 000 € par cédant. Son taux varie de 2 à 6 % selon le montant de la plus-value.
Vos revenus fonciers représentent moins de 15 000€ par an, vous serez automatiquement soumis au régime micro-foncier. Il vous donne droit à un abattement forfaitaire de 30%.
Vous pouvez cependant choisir le régime réel. Il vous permet de déduire un grand nombre de charges (travaux, intérêts d'emprunt, assurance, etc.)
Vos revenus représentent plus de 15 000€ par an, vous devez déclarer votre revenu foncier net.
Pour cela, vous devez soustraire de votre revenu foncier brut (les loyers que vous avez encaissés pendant l'année) toutes vos charges déductibles.
Si la déduction des charges aboutit à un résultat négatif, vous constatez un déficit foncier.
La part du déficit qui résulte des dépenses autres que les intérêts d'emprunt est déductible de votre revenu global dans la limite de 10 700 €. Si votre revenu est insuffisant pour absorber ce déficit, vous pouvez le reporter sur votre revenu global des 6 années suivantes.
La part du déficit foncier qui dépasse 10 700 € et celle liée aux intérêts d'emprunt sont déductibles de vos revenus fonciers des 10 années suivantes.
Les revenus de la location meublée sont soumis à l’impôt sur les revenus dans la catégorie des bénéfices
industriels et commerciaux non professionnels.
Deux régimes fiscaux différents sont possibles :
• le micro-BIC : les recettes brutes (inférieures ou égales à 77 700 € €) sont soumises à imposition après
un abattement forfaitaire de 50 %
• le régime réel simplifié : les recettes brutes sont soumises à imposition après déduction de l’intégralité des charges pour leur montant réel, des éventuels intérêts d’emprunt et des amortissements.
La plus-value réalisée lors de la cession relève du régime des plus-values immobilières des
particuliers.
La plus-value est déterminée par la différence entre le prix de cession du bien et le prix d’acquisition revalorisé :
• des frais d’acquisition (honoraires de notaire, frais de timbre et de publicité foncière…) pour leur montant
réel ou au forfait de 7,5 % (en cas d’acquisition à titre onéreux)
• du forfait pour travaux de 15 % sous réserve que l’immeuble soit détenu depuis plus de 5 ans ou sous
certaines conditions strictes, des travaux pour leur montant réel.
Par ailleurs, lorsque la vente porte sur un immeuble détenu depuis plus de 5 ans, la plus-value est réduite d’un
abattement pour durée de détention.
La plus-value immobilière pourra donc :
• être exonérée d’impôt sur le revenu après 22 années de détention
• être exonérée de prélèvements sociaux après 30 années de détention.
La plus-value ainsi déterminée est soumise à l’impôt sur le revenu au taux de 19 % et aux prélèvements sociaux
au taux de 17,2 %.
Une taxe s’applique sur les plus-values nettes imposables qui excèdent 50 000 € par cédant.
Son taux varie de 2 à 6 % selon le montant de la plus-value
La plus-value réalisée lors de la cession relève du régime des plus-values immobilières des
particuliers.
Elle est déterminée par la différence entre le prix de cession du bien et le prix d’acquisition revalorisé :
• des frais d’acquisition (honoraires de notaire, frais de timbre et de publicité foncière…) pour leur montant
réel ou au forfait de 7,5 % (en cas d’acquisition à titre onéreux)
• du forfait pour travaux de 15 % sous réserve que l’immeuble soit détenu depuis plus de 5 ans ou sous
certaines conditions strictes, des travaux pour leur montant réel.
→ Pour rappel : dans le cas du dispositif « Malraux », les dépenses de travaux ayant ouvert un droit à une
réduction d’impôt sur le revenu ne peuvent pas être prises en compte pour le calcul de la plus-value imposable
lors de la revente.
Par ailleurs, lorsque la vente porte sur un immeuble détenu depuis plus de 5 ans, la plus-value est réduite d’un
abattement pour durée de détention
La plus-value immobilière pourra donc :
• être exonérée d’impôt sur le revenu après 22 années de détention
• être exonérée de prélèvements sociaux après 30 années de détention
La plus-value ainsi déterminée est soumise à l’impôt sur le revenu au taux de 19 % et aux prélèvements sociaux
au taux de 17,2 %.
Une taxe s’applique sur les plus-values nettes imposables qui excèdent 50 000 € par cédant.
Son taux varie de 2 à 6 % selon le montant de la plus-value
La plus-value réalisée lors de la cession d’un bien relève du régime des plus-values
immobilières des particuliers.
Elle est déterminée par différence entre le prix de cession du bien et le prix d’acquisition du foncier revalorisé :
• des frais d’acquisition (honoraires de notaire, frais de timbre et de publicité foncière…) pour leur montant
réel ou forfait de 7,5 % (en cas d’acquisition à titre onéreux),
• du forfait pour travaux de 15 % sous réserve que l’immeuble soit détenu depuis plus de 5 ans ou, sous
certaines conditions strictes, des travaux pour leur montant réel.
Par ailleurs, lorsque la vente porte sur un immeuble détenu depuis plus de cinq ans, la plus-value est réduite d’un
abattement pour durée de détention.
La plus-value immobilière pourra donc :
• être exonérée d’impôt sur le revenu après 22 années de détention
• être exonérée de prélèvements sociaux après 30 années de détention.
La plus-value ainsi déterminée est soumise à l’impôt sur le revenu au taux de 19 % et aux prélèvements sociaux
de 17,2 %.
Une taxe s’applique sur les plus-values nettes imposables qui excèdent 50 000 € par cédant. Son taux est de 2 à 6 % selon le montant de la plus-value.
Qu’est-ce que la médiation ?
“La médiation est un processus amiable, volontaire et confidentiel de résolution des différends.”
L’objectif : proposer aux parties en conflit l’intervention d’un tiers indépendant et impartial formé à la médiation, qui les aide à parvenir à une solution négociée optimale et, en tout cas, conforme à leurs intérêts respectifs, mettant fin au litige.
Le médiateur n’est ni un juge, ni un arbitre, mais plutôt un « catalyseur » dont la mission est de faciliter et permettre les négociations entre les parties, afin de les aider à trouver elles-mêmes une solution à leur différend. Il n’a donc pas vocation à trancher le litige.
https://www.cmap.fr/mediation/
Comment nous saisir ?
La médiation est mise en œuvre conjointement par les parties ou de façon unilatérale. Dans cette dernière hypothèse, le CMAP prendra contact avec l’autre partie afin de recueillir son accord.
Il suffit, pour nous saisir, de nous adresser par courrier postal au 39 avenue Franklin Delano Roosevelt, 75008 Paris, un courrier présentant les informations suivantes :
L’état civil ou la dénomination sociale et l’adresse de chacune des parties et, le cas échéant, le nom et l’adresse de leur conseil ;
L’objet sommaire du litige
Les propositions respectives des parties ou la proposition de la partie qui saisit le CMAP
Le montant en litige
https://www.cmap.fr/contact/
Pour les autres activités (médiateur recommandé par la CNCGP) : Centre de Médiation et d’Arbitrage de Paris (CMAP), Service Médiation de la consommation, 39 avenue Franklin D. Roosevelt 75008 PARIS - Médiateurs : Christophe AYELA, Jean-Marc BLAMOUTIER, Catherine BOINEAU, Gilles CHARLOT, Michel GUIGAL (https://www.cmap.fr/consommateurs/ ou consommation@cmap.fr)
En cas de litige ou de réclamation du client, les parties contractantes s’engagent à rechercher en premier lieu un arrangement amiable. Le client pourra présenter sa réclamation à l’adresse du cabinet à son conseiller ou gestionnaire habituel qui disposera de 10 jours pour en accuser réception, puis de 2 mois, à compter de la réception de la réclamation, pour y répondre. A défaut d’arrangement amiable, les parties pourront en second lieu informer le médiateur de la consommation : - Pour l’activité CIF (médiateur public) : L’AMF – L’Autorité des Marchés Financiers, Madame Marielle COHEN-BRANCHE, 17 place de la Bourse 75082 Paris Cedex 02 (https://www.amf-france.org/fr/le-mediateur) ; - Pour les autres activités (médiateur recommandé par la CNCGP) : Centre de Médiation et d’Arbitrage de Paris (CMAP), Service Médiation de la consommation, 39 avenue Franklin D. Roosevelt 75008 PARIS - Médiateurs : Christophe AYELA, Jean-Marc BLAMOUTIER, Catherine BOINEAU, Gilles CHARLOT, Michel GUIGAL (https://www.cmap.fr/consommateurs/ ou consommation@cmap.fr). En cas d’échec de la médiation, le litige pourra être porté devant les tribunaux compétents.
Dans le cas où la lettre de mission serait le résultat d’un acte de démarchage, vous bénéficiez d’un délai de rétractation de 14 jours, à compter de la date de réception de la présente lettre de mission. Durant cette période, vous aurez la liberté de renoncer purement et simplement à votre engagement en nous faisant parvenir par courrier recommandé avec accusé de réception une lettre de renonciation suivant le modèle ci-après : « Je, soussigné, [Nom Prénom] déclare renoncer au contrat de prestation de service conclu le [Date] avec [Nom Prénom] représentant le Cabinet [Nom du cabinet] ».
Qu'est-ce qu'un conflit d'intérêts ?
Le conflit d'intérêts n'est pas défini par la loi française. On peut toutefois le définir communément comme un conflit entre la mission d'un agent public et ses intérêts privés, conflit susceptible d'influencer la manière dont il exerce ses fonctions. En d'autres termes, le conflit d'intérêt peut potentiellement remettre en cause la neutralité et l'impartialité avec lesquelles la personne doit accomplir sa mission du fait de ses intérêts personnels. Conflit d'intérêts n'est pas synonyme de prise illégale d'intérêts. Contrairement à cette dernière, le conflit d'intérêts n'est pas un délit sanctionné pénalement.
Présentation de l’Orias
Il s'agit d'une association sous tutelle de la Direction du Trésor qui a été créée en 2007 pour homologuer les intermédiaires en assurance, conformément à une directive de l'Union Européenne datant de 2002. Nous délivrons un "permis de travail" pour ces intermédiaires qu'ils soient courtiers, agent généraux ou mandataires. Le champ d'action est élargi, depuis le 15 janvier 2013, aux intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement (IOBSP), ainsi qu'aux conseillers en investissements financiers (CIF) et agents liés de prestataires de services d'investissement (ALPSI). Depuis le 1er octobre 2014, l'Orias assume la mission d'enregistrement des conseillers en investissements participatifs (CIP) et des intermédiaires en financement participatif (IFP).L'Orias a désormais pour mission la tenue et la mise à jour du Registre des intermédiaires en assurance, banque et finance.
1 r Jules Lefebvre, 75009 Paris ·
09 69 32 59 73
www.orias.fr
Rôle de l’ACPR
L’autorité de contrôle prudentiel a pour fonction de veiller à la préservation de la stabilité du système financier et à la protection des clients, assurés, adhérents et bénéficiaires des personnes soumises à son contrôle.
Concrètement, l’autorité accorde ou radie les agréments (permis d’exercer) des entreprises ayant une activité bancaire, financière ou un service de paiement, c’est-à-dire, les établissements de crédit (banques et sociétés financières), les entreprises d’investissement, les entreprises d’assurance et de réassurance, les mutuelles et unions mutualistes ainsi que les institutions de prévoyance et les sociétés de groupe d’assurance.
L’ACPR contrôle l’ensemble de ces établissements, tous tenus de respecter son règlement, ses décrets.
Concernant la protection des consommateurs, l’ACPR veille à ce que les règles et codes de bonne conduite édictés et approuvés à la demande d’une association de professionnels s’appliquent. C’est elle qui supervise le mécanisme de garantie des dépôts et de résolution (FGDR) voué à l’indemnisation de clients, dont les avoirs deviendraient indisponibles, suite à une défaillance bancaire.
Bon à savoir : l’ACPR n’a pas pour rôle d’intervenir dans le cadre des litiges individuels entre les établissements financiers et particuliers, ce recours étant confié à des instances de médiations spécifiques.
Missions de l’ACPR
L’ACPR assure ses missions prudentielles bancaires dans le cadre de l’Union bancaire de la zone Euro. Ces missions principales sont les suivantes :
Lutter contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
Protéger la clientèle des banquiers et des assureurs.
Préserver la stabilité du système financier.
S’assurer du respect des dispositifs de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.
Résoudre les crises en limitant autant que faire se peut le recours au soutien financier public.
Rendre l’usage des produits et services financiers plus sûr.
Améliorer la régulation internationale du système financier. À ce titre, l’ACPR représente la France en tant qu’autorité de contrôle aux niveaux international et européen et apporte une contribution importante aux mécanismes de supervision et de résolution bancaires européens.
Pour accomplir ces différentes missions, l’autorité de contrôle prudentiel dispose d’un pouvoir de contrôle, de police administrative et de sanction.
Dans la mesure où le secret professionnel ne lui est pas opposable, l’ACPR peut rendre publiques certaines informations relatives aux établissements de crédit et entreprises d’investissement et d’assurance sous son contrôle.
4 PL de Budapest, 75009 Paris. 01 49 95 40 00
https://acpr.banque-france.fr/
Qu’est-ce que l’AMF ?
L’AMF une autorité publique qui a pour mission principale la protection de l’épargne.
Créée en 2003, elle résulte de fusion de la Commission des Opérations de Bourse (COB), du Conseil des Marchés Financiers (CMF) et du Conseil de Discipline de la Gestion Financière (CDGF). Le président de l’AMF est nommé par décret pour une durée de cinq ans (non renouvelable) par le Président de la République.
L’objectif est de protéger l'épargne et plus globalement de réglementer les marchés financiers tel que la bourse de Paris. Elle perçoit le produit des droits et contributions versés par les acteurs soumis à son contrôle, ce qui lui permet de disposer d’une autonomie financière.
L'Autorité des marchés financiers est composée de deux organes collégiaux distincts :
Le Collège est composé de 16 membres. Il adopte les nouvelles réglementations, examine les dossiers individuels instruits par l’AMF, et initie les procédures de sanction.
La Commission des sanctions est composée de 12 membres distincts de ceux du Collège. Disposant d’une totale autonomie de décision, c’est à elle que revient l’exercice du pouvoir de sanction.
L’AMF s’appuie sur plusieurs commissions consultatives, composées chacune d’une vingtaine d’experts. Elles ont pour mission d’éclairer les décisions du collège sur les évolutions de la réglementation ou de la doctrine du régulateur.
Un Conseil scientifique composé de personnalités reconnues du monde académique et financier, renforce le dispositif d’étude et de veille stratégique de l’AMF.
Les règles de l'AMF sont rassemblées dans son Règlement Général Unique (RGU).
A savoir : un “Pôle commun” entre l’AMF et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution a été mis en place en 2010 afin de renforcer le contrôle des produits financiers commercialisé en France et de mieux protéger les investisseurs.
Missions de l’AMF
L’AMF veille à la protection des épargnants dans le cadre des entreprises faisant appel public à l'épargne ou dans le cadre d'introduction d'instruments financiers en bourse.
Elle veille à la régularité de l’information donnée aux acteurs des marchés financiers.
Elle s’assure du bon fonctionnement des marchés financiers. A ce titre, elle a le pouvoir d'enquêter sur toutes activités soupçonnées d'être illicites (fausses informations, manipulation de cours, délit d’initié, etc.) et dispose d’un pouvoir d'injonction lui permettant de faire cesser une activité étant en contradiction avec le RGU.
L’AMF contrôle tous les marchés financiers, même non réglementés. Elle réglemente les opérations financières des sociétés cotées (comme une OPA) en s’assurant que l’information diffusée au grand public soit exhaustive et compréhensible. Elle vérifie que toute information susceptible d’avoir une influence sur le cours de Bourse d’une société cotée est correctement diffusée auprès du grand public.
Quand elle est saisie par le Collège de l’AMF, la Commission des sanctions instruit les dossiers et statue sur les faits au terme d'une procédure encadrée. Elle peut prononcer des sanctions pécuniaires et/ou disciplinaires (avertissement, blâme, ou interdiction à titre temporaire ou définitif de l'exercice de tout ou partie des services fournis).
A noter : tout acteur financier professionnel est tenu de signaler les opérations lui semblant suspectes auprès de l’AMF.
En plus de cette mission de contrôle, l’AMF apporte son concours au législateur pour l'élaboration de la réglementation des marchés financiers à l’échelon européen et international. Au niveau international, elle est membre de l’Organisation Internationale des Commissions de Valeurs (OICV) qui regroupe plus de 100 pays et au sein duquel elle représente la position française en matière d’harmonisation des règles de fonctionnement des marchés financiers
Pour protéger les épargnants, l’AMF met à leur disposition plusieurs outils. À savoir :
Un accueil téléphonique “AMF Epargne Info Service” au 01.53.45.62.00.
Une action pédagogique avec fourniture de guides, de formations en partenariat avec l’Institut pour l’éducation financière du public.
Un service de médiation gratuit.
17 place de la Bourse 75082 Paris Cedex 02
https://www.amf-france.org/fr
La définition que l'on peut donner des PPE découle de la transposition de la troisième Directive européenne d'octobre 2005 relative à la prévention de l'utilisation du système financier aux fins de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme.
Les PPE sont des personnes physiques qui occupent ou ont occupé une fonction publique importante, pas nécessairement politique, liée à un pouvoir de décision significatif. Ces personnes peuvent être de chefs d'état, ou d'un membre de leur famille. Les personnes connues pour être étroitement associées à un client PPE sont également incluses.
Une personne politiquement exposée, ou PPE en abrégé, est un terme décrivant une personne exerçant ou ayant exercée une haute fonction publique, par exemple politique, ou qui est intimement associée à une telle personne. Il peut s'agir aussi d'un membre ou ancien membre de la fonction publique d'Etat.
Avant une relation d'affaires avec une personne appartenant à cette catégorie, vous devez prendre des mesures particulières de compliance : les PPE sont considérées comme à haut risque.
Pour réduire corruption, fraudes, blanchiment d'argent ou fraudes fiscales, les personnes politiquement exposées doivent faire l'objet d'une surveillance spécifique avant d'engager des relations d'affaires.
Aujourd’hui, impossible d’échapper à cette question. La loi impose aux banques, assureurs et intermédiaires financiers de réclamer des justificatifs. Et cette règle ne souffre aucune exception.
A l’origine de cette obligation légale, il y a un constat : les trafics en tout genre (drogue, armes…), les activités clandestines et le terrorisme s’alimentent à des flux financiers souterrains, donc difficiles à capter. Mais ces flux doivent parfois remonter en surface pour blanchir de l’argent « sale », transférer des fonds d’un pays à l’autre, réunir une somme importante etc.
Pour les autorités, ces brefs passages dans l’économie légale sont autant d’opportunités pour détecter ces activités, enquêter et parfois intervenir.
Justifier avec des documents officiels
Voilà pourquoi le particulier qui achète un appartement, investit sur un nouveau placement ou effectue un versement exceptionnel sur son contrat d’épargne-retraite doit justifier l’origine des fonds. Pas simplement en donnant l’information par oral à son interlocuteur. En fournissant une copie d’acte de vente ou de succession, un document attestant de la vente de parts sociales, un relevé de compte bancaire ou tout autre document permettant de « tracer » les capitaux.
Pour les conseils en gestion de patrimoine, demander ces documents est toujours délicat. Certains clients réagissent mal : pourquoi ne croit-on pas à leur bonne foi ? pourquoi est-ce à eux et non aux autres qu’on demande des justificatifs ? ces derniers vont-ils être scrutés et analysés en tous sens, et par qui ? que reste-t-il de la liberté et du respect de la vie privée dus aux citoyens ?
Une mesure obligatoire, pour tous les épargnants
Aussi, il faut rappeler que ces mesures sont obligatoires. Elles s’appliquent à tout le monde, sans exception. Des banques et des compagnies d’assurance qui les avaient négligées ont été sanctionnées par de lourdes amendes.
Nous avons pris l’habitude de montrer le contenu de nos sacs à des vigiles pour entrer dans certains lieux publics. Les justificatifs d’origine des fonds sont un peu l’équivalent documentaire de cette obligation. Même si elles nous imposent de dévoiler beaucoup plus que le contenu d’une sacoche ou d’un panier.
Alimenter en informations la cellule d’enquête Tracfin
Tracfin, la cellule d’enquête du ministère des Comptes publics qui lutte contre les circuits financiers clandestins, dispose de bien d’autres sources d’information. Elle est informée par exemple chaque fois qu’un compte bancaire enregistre plus de 10000 euros de versements ou de retraits en espèces en un mois.
Tracfin surveille aussi les transactions en cryptomonnaies comme le bitcoin. Elle recherche les ventes d’objets d’art issus du pillage de musées ou de sites archéologiques. Enfin, elle collabore avec ses homologues du monde entier.
La justification de l’origine des fonds n’est pas une obligation très sympathique. Mais c’est le prix à payer pour notre sécurité et pour le bon fonctionnement de notre économie.
Il ne s'agit pas ici de valider que l'opération est rentable mais que l'opération a un objet licite et qu'elle est cohérente dans le sens où elle peut avoir une cause et conséquence licite. par exemple : comment expliquer des revenus forts sans exercer de profession, ni d'héritage, de gain au jeu etcc?
https://www.lafinancepourtous.com/
Sauf exception, le Cabinet Avefi ne souhaite pas effectuer de RTO dans ces relations clients/fournisseurs de produits "RTO". Et ce, afin que le traitement des demandes clients concernés par la RTO soit efficace. Cela concerne donc la réception transmissions d'ordre des placements bancaires, ou des SCPI par exemple.